Se diversifier avec le Low Content

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Après une très longue pause, je reviens avec un article sur le thème Se diversifier avec le Low Content. Peut-être avez-vous vu des titres dans le domaine de l’autoédition évoquant le Low Content sans réellement savoir de quoi il s’agissait. Nous allons expliquer ici de quoi il retourne et comment cela peut constituer une diversification si vous possédez déjà un compte KDP.

Low Content vs. High Content

Le concept de Low Content, que l’on peut traduire para « faible contenu » se définit par opposition à ce que l’on appelle le High Content (« fort contenu). Ce dernier terme fait référence aux livres classiques (romans ou non-fiction) qui ont un contenu « riche » et qui prennent donc du temps à produire. Au contraire, les produits Low Content vont avoir un contenu moins élaboré, avec moins de texte, et donc plus rapide à créer. Il s’agit par exemple de carnets ou journaux à remplir, cahiers d’exercices, livres de coloriage, planificateurs, calendriers, livres d’activités, etc. Il existe également une sous-catégorie, que l’on qualifie de No Content, sans contenu écrit et avec seulement quelques éléments graphiques : cahiers vides, journaux vierges, livres de composition, blocs-notes, agendas, etc.

Pourquoi s’intéresser au Low Content ?

Si vous auto-publiez des livres, du High Content, sur Amazon KDP, vous avez sans doute déjà des éléments nécessaires pour travailler dans le Low Content : un compte KDP, un statut juridique ad hoc, des connaissances en marketing (recherche de niches), un certain savoir-faire en édition de documents et peut-être quelques compétences en graphisme.
Comme nous l’avons souligné auparavant, la production de contenu en Low Content prend moins de temps et peut donc, en théorie, vous permettre de publier plus vite. Par conséquent, il est possible de générer de nouveaux revenus plus rapidement. De plus, ce sont des produits que l’on peut traduire plus facilement et proposer sur différents marchés internationaux.

Est-ce que se diversifier avec le Low Content vaut le coup ?

Sur le papier, se diversifier avec le Low Content semble assez simple quand on publie déjà des livres sur Amazon KDP. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il sera facile d’en tirer des revenus significatifs. Dans une vidéo sur Youtube, Nicolas Rocher, un des spécialistes français du Low Content, liste quatre étapes pour réussir dans ce domaine :
• Trouver des niches rentables (segments avec une forte demande et relativement peu de concurrence)
• Trouver des mots-clés rentables (pour trouver de bons prospects)
• Un bon design (couverture et intérieur) adapté à la demande
• Productivité (optimisation du processus)
L’auteur insiste sur la constance, le professionnalisme et l’implication nécessaires pour rencontrer le succès dans ce secteur.
Personnellement, je me suis lancé en auto-publiant deux carnets à remplir sur un sujet qui m’intéresse, les rêves, avec une version pour adultes et une autre pour enfants. Puis j’ai enchaîné avec un cahier d’activítés contenant 150 énigmes mathématiques, disponible au format broché et au format ebook. À l’avenir, j’envisage de publier d’autres produits que vous trouverez ici.

Pour aller plus loin

Vous trouverez des informations et formations sur le site Print Revolution de Nicolas Rocher :  et des tutos sur la page du groupe Facebook KDP Réussite

Pour des ressources supplémentaires (et souvent payantes) vous pouvez consulter les sites Business-KDP, KDP fastoche et KDP Conseil.

Voilà, j’espère sincèrement que cet article incitera de nombreux lecteurs à tenter de Se diversifier avec le Low Content.
On se retrouve prochainement pour un nouvel article sur Vivre d’écriture. Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas.
Frédéric

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